Ils s’appellent Raphael, Charlie, Sacha ou Vanessa et leur passion, c’est la fête sans limite. Des Français accrocs aux soirées les plus démesurées, fans de sensations fortes et prêts à tout pour s’offrir une petite folie !Nous avons accompagné ces groupes de jeunes fêtards, d’abord en Espagne, sur la mythique Costa Brava, le paradis des «springbreaks». Au programme : excès en tous genres, soirées endiablées sur les pistes de danse et, bien sûr, drague à gogo pour des séjours de lâcher prise total entre copains.En France, il existe des sociétés spécialisées qui organisent ce genre de week-end pour 300 euros à peine. Quelles sont les formules qu’ils proposent ? Quelles sont leurs techniques pour garantir une ambiance toujours plus folle ? Nous avons enquêté sur ces nouveaux rois de la fête.Encore plus fou, nous avons suivi d’autres Français dans le festival le plus extrême au monde : le Burning Man, qui rassemble chaque année des fêtards de toute la planète, dans le désert du Nevada, aux Etats-Unis. Une expérience à près de 2 000 euros par personne, pour 8 jours de fêtes débridées et de soirées costumées démentielles… au milieu de 70 000 personnes et sous un soleil de plomb. Ici, le sexe est totalement libéré, la consommation de produits en tout genre tolérée. Une seule règle : à la fin, tout doit brûler et redevenir poussière.Enfin, vous allez découvrir Budapest, en Hongrie, devenue aujourd’hui LA capitale européenne des enterrements de vie de garçons, sans aucune limite. C’est la destination qu’ont choisie Raphael, Sacha et 5 autres copains d’enfance, pour faire une grosse surprise à leur meilleur ami Benjamin qui se marie dans 5 mois. Au menu : tournée des bars, des clubs de striptease, et surtout des activités complètement délirantes, illégales en France, que seule la Hongrie peut proposer : comme la conduite de char d’assaut ou le tir au lance-roquettes.